moi, j'ai jamais vu un psy qui parle autant. je me demande s'il est pas en train de profiter honteusement (ou inconsciemment, ou sub-consciemment, ou...ok j'arrête), de son patient pour faire SA propre thérapie... on m'la fait pas à moi. j'suis pas née de la dernière pluie acide.
Marieb> Eh oui! parfaitement raison. Quand le psy parle trop, l'analysé pleure tout de suite. Alors que normalement c'est à partir de la cinquantième séance, au moins, s'il a la bonne idée de ne jamais rien dire et d'empocher ses honoraires à la fin en disant simplement: "On se revoit la semaine prochaine, même jour, même heure". Soit on assiste à la centième séance, soit c'est un remplaçant soit c'est un acte manqué d'une névrose de destinée soit... ok, j'arrête ?
pierre> hihi, et encore, certains patients ne pleurent jamais, et ds ces cas là, c'est le psy qui craque...partagé entre le fait que ce patient qui en est à sa vingt-trois millième séance lui assure ses vacances annuelles à l'île Maurice et le fait que vraiment il n'en peut plus de l'entendre raconter sa vie!!! THE dilemne quoi!
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Commentaires
Bravo, vraiment !
J'ai trouvé ici http://www.marceletmoi.fr/nombril.h... LA tenue pour le nombril du monde !
Rigolot ;-)
transfert et contre transfert financier en psychanalyse...
moi, j'ai jamais vu un psy qui parle autant. je me demande s'il est pas en train de profiter honteusement (ou inconsciemment, ou sub-consciemment, ou...ok j'arrête), de son patient pour faire SA propre thérapie... on m'la fait pas à moi. j'suis pas née de la dernière pluie acide.
Marieb> Eh oui! parfaitement raison. Quand le psy parle trop, l'analysé pleure tout de suite. Alors que normalement c'est à partir de la cinquantième séance, au moins, s'il a la bonne idée de ne jamais rien dire et d'empocher ses honoraires à la fin en disant simplement: "On se revoit la semaine prochaine, même jour, même heure". Soit on assiste à la centième séance, soit c'est un remplaçant soit c'est un acte manqué d'une névrose de destinée soit... ok, j'arrête ?
pierre> hihi, et encore, certains patients ne pleurent jamais, et ds ces cas là, c'est le psy qui craque...partagé entre le fait que ce patient qui en est à sa vingt-trois millième séance lui assure ses vacances annuelles à l'île Maurice et le fait que vraiment il n'en peut plus de l'entendre raconter sa vie!!! THE dilemne quoi!